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Ce soir la télé nous regarde...
 
 
[Exclusif 29.09.99] [Tapis Rouge 27.11.99] [2000 mercis 11.12.99]
[Flash 15.11.99] [les Choix de Sophie 16.11.99] [la Fureur 19.11.99] [Bla bla bla 22.11.99]
[Recits emissions tele 2000]

Les émissions de télé - 1999

Exclusif, 29 septembre 1999
 
PB était interviewé ce soir dans "exclusif" sur TF1.
On a pu entendre un extrait de "j'te mentirais" ainsi qu'une interview.
L'album a été annoncé pour le 19 octobre.
PB a déclaré que son nouvel album (comme les autres) est autobiographique, que ces 5 dernières années furent très riches en émotions et que ceci se ressentait dans l'album, il est également pressé de retrouver la scène.

Yann (France)

Il a expliqué également que :
Après ces 5 ans, il avait le choix entre monter dans un autre train qu'il ne connaissait pas bien, ou rester dans le sien en espérant que les rails étaient solides. Il a choisi la 2ème solution.
Il se sent bien à 40 ans. Mais il se sentait bien aussi à 30 ans. Sauf qu'à 31 ans, il a vu arriver un ouragan au-dessus de lui ;-)
La vie est courte. Il a "probablement" peur de vieillir. Il a surtout peur du temps qui passe si vite.
Enfin, des fois il se trouve beau, mais jamais aussi beau que ce qu'on a pu lui dire ;-)

Françoise (Belgique)

Interview intégrale de PB le 29 septembre à "Exclusif" sur TF1
 
A l'aéroport de Montreux (Suisse)...pour une convention internationale organisée par sa maison de disque.
PB au douanier : J'ai fait une bêtise, j'ai oublié mon passeport, je ne vient que pour la journée
-heureusement le douanier est complaisant, sinon il n'y aurait pas eu d'interview ! ! !-, merci, c'est gentil.
PB : C'était simple de toute façon, aujourd'hui ca fait 5 ans que je n'ai pas fait de disque. Il s'est passé beaucoup de choses dans le paysage musical, il y avait deux solutions : essayer de prendre un train que l'on ne connaît pas très bien et monter dedans et voire ce que l'on pouvais y faire, ou rester dans son train en espérant que les rails étaient solides.
Extrait de J'te mentirais en acoustique au piano.
Journaliste : Un album vérité, profond et intimiste reflète des sentiments et des expériences personnels du chanteur
PB : Tous mes albums sont autobiographiques mais il y a des moments dans la vie où l'on vit des trucs plus intéressant que d'autre, peut être que celui là est plus riche parce que j'ai peut être vécu des choses assez fortes pendant ces dernières années. Et puis j'ai vu des gens partir proche de moi et me disant que la vie est courte.
Nouvel extrait
J : On m'a dit que vous avez travaillé avec vos frères.
PB : Ils ont toujours eu un regard très présent sur mon histoire, sur mon boulot, critiques attentifs, et on s'est aperçu que l'on s'entendait très bien tous les trois, que l'on se suffisait à nous même, et on a fait tout ça ensemble.
J : Et la scène, votre public vous a manqué, j'imagine ?
PB : Enorme, énorme ; ça m'a manqué énorme, c'est...
J : C'est une absence douloureuse non ?
PB : A la fois oui, à la fois on fait plein d'autres choses, puis on va voir les autres sur scène ; moi j'ai toujours passé ma vie dans des salles de spectacles. Donc, de toute façon la scène, ou dans la salle, le plaisir n'est pas le même . Le plaisir n'est pas le même, quand on a goutté à la scène...on n'a pas envie d'en descendre.
Nouvel extrait
J : Après un début de carrière riche et mouvementé, Patrick semble avoir atteint la maturité.
J Vous vous sentez mieux à trente ans ou à quarante ans dans votre tête ?
PB : Ca dépend des moments, je me sent très bien en ce moment en tout cas, mais je ne me sentais pas mal à trente ans , sauf qu'à trente et un ans j'ai commencé à voir arriver un ouragan au dessus de moi, donc je ne sais plus trop comment j'était, mais je me sent certainement mieux maintenant.
J : Vous avez peur de vieillir ?
PB : Probablement, oui, probablement, ça va très vite. J'ai surtout peur du temps qui passe si vite.
J : Vous vous trouvez beau ?
PB : Ca dépend des jours, des fois j'ai du mal à me regarder dans la glace. Et des fois ouais j'aime bien !. Mais jamais aussi beau que ce qu'on a pu me dire.
Nouvel extrait
FIN

Yann (France)



 
Tapis Rouge, 27 novembre 1999 (enregistrement 02/10/1999)
 
L'enregistrement de l'émission commence, bien sûr, avec "J'te mentirais".
 
Un peu de pub pour le prochain CD des Enfoirés, avec un extrait du concert des "Enfoirés dernière édition... avant l'an 2000" où l'on revoit le trio Patrick Bruel/David Hallyday/Serge Lama pour "Belle".
 
Ensuite, Patrick nous propose un medley avec
- Alors regarde
- Marre de cette nana
- Casser la voix
- Place des grands hommes
- Décalé
- Combien de murs
- Qui a le droit (en duo avec Isabelle Boulay)
- J'te l'dis quand même (en duo avec Florent Pagny - commentaire de Florent "c'est une chanson écrite pour une femme, mais de la chanter ensemble avait un petit côté ambigu qui me plait bien". En tout cas, ils avaient l'air de bien s'amuser ensemble, tous les 2)
 
Egalement présents dans l'émission, entre autres, Florent Pagny (Je l'ai tant aimée (?), Requiem pour un con), Carole Fredericks et Isabelle Boulay (House of the rising sun / le Pénitencier), Isabelle Boulay (D'aventures en aventures), Patricia Kaas (Une fille de l'Est, Mademoiselle chante le blues), Maurane (la chanson des vieux amants), Ishtar/Alabina (Comme toi), Andrea Bocelli (Ave Maria), ? (la Quête), etc...
Mais comme ils enregistraient apparemment aussi des extraits d'une autre émission, je ne sais plus très bien qui doit réellement passer dans celle de Patrick !
 
Enfin, last but not least, l'émission se termine par une autre chanson du nouveau CD de Patrick "Tout s'efface".
Personnellement, à la première écoute, comme ça, je la trouve plus belle que "J'te mentirais". Et apparemment, je ne suis pas la seule à le penser.
Un petit bout du texte, de mémoire (sans garantie, donc)
"Tu m'aimes bien
Moi, je t'aime tout court
La différence s'appelle l'amour"
 
Pendant les chansons, le texte défilait sur un écran. Pendant "Tout s'efface", j'ai regardé l'écran 3 fois... et par 2 fois, Patrick était en train de chanter autre chose que ce qui était écrit !
Donc, même avec le texte, il arrive encore à se tromper ;-)
Ou alors, c'est le texte sur l'écran qui n'était pas correct ;-))
 
A part ça, Patrick avait l'air en pleine forme, très content d'être là, et impatient de nous retrouver pour les concerts qu'ils nous promet pour mai 2000 au Zenith... youpiiii :-)

Françoise (Belgique)



 
Flash, 15 novembre 1999
 
Le grand retour de Patrick Bruel
 
Q- Patrick cela faisait longtemps que tu n'étais pas venu ici [au Québec], un nouveau disque
R- Oui (Rires)
R- Oui, ça faisait longtemps et j'avais décidé de mettre tout ça entre parenthèses; en 95, j'ai eu envie de prendre un peu de recul et d'avoir une urgence pour écrire des chansons; une urgence pour avoir envie de les chanter, de les partager avec les gens et cette urgence peut venir que si tu as des choses à raconter et pour en raconter, il faut en vivre.
 
Q- L'album a déjà très bien démarré, on parle de 300 000 copies vendues en France en moins de deux semaines. Une nouvelle Bruelmania?
R- Non, je crois que c'est un enthousiasme pour la chanson "J'te mentirais..."; elle a l'air de plaire beaucoup et que les gens ont l'air de s'y retrouver. Et que lorsqu'une chanson plait, elle déclenche forcément l'envie d'en savoir plus sur le contenu de l'album.
 
Q- Quelles sont les préoccupations d'un homme de 40 ans?
R- C'est les préoccupations d'un homme tout court.
 
Q- C'est la peur de l'engagement?
R- C'est la peur de l'engagement. Ce sont les histoires d'amour qui commencent bien qui finissent mal; celles qui commencent mal et qui finissent bien ; celles qui commencent et qui finissent jamais et celles qui commencent jamais.
 
Q- Et là, t'en es où?
R- (rires) On en reparlera une autre fois! Tout est dans le disque!

MousmÉ (Quebec)



 
Les Choix de Sophie, le 16 novembre 1999
 
L'émission a commencé tout simplement avec une petite partie de poker que l'animatrice a évidemment perdue :-)
 
Q- Bonsoir Patrick. Vous avez répondu a une multitude de questions depuis quelques jours et même depuis 20 ans. Je me dis est-ce qu'il a encore envie de donner des entrevues?
R- Chaque entrevue est une rencontre. Donc, même si les questions peuvent s'apparenter les unes aux autres et c'est normal! Les questions ne sont pas les mêmes, les façons de les poser de ne sont pas les mêmes; les situations ne sont pas les mêmes. Et j'ai rarement commencé une émission de télé, avec trois 10 et une paire de Dames (sourires)!!!
Q- Je tiens à préciser que ce n'était pas arrangé avec la filles des vues!
 
Q- Qu'est-ce qui arrive Patrick, quand vous ne gagnez pas? On a l'impression que tout vous réussi. Vous faites du cinéma et ca marche bien; vous faites des disques et ca marche bien; vous jouez au poker et vous devenez champion du monde.
R- On en a parlé parce que j'ai gagné et si j'avais perdu, on en aurait pas parlé! On met plus la lumière sur le succès des gens que sur les choses qu'ils ne réussissent pas. Mais j'essaie de faire de mon mieux. Est-ce que je suis perfectionniste? Le mot est un peu fort. J'aime bien les choses bien faites et quand je me suis lancé dans l'aventure de poker, je m'étais dit que j'arrêterai quand je serai champion du monde en étant sûr de ne jamais y arriver évidemment.
 
Q- C'est un défi que vous vous êtes lancé à vous même?
R- Un p'tit peu. Pis quand je me suis retrouvé à Las Vegas au milieu de ces joueurs, j'ai senti techniquement que je pouvais tenir la route.
 
Q- C'est comme si vous sentiez le besoin de vous lancez encore des défis pour vous prouver des choses à vous même et non aux autres.
R- Mais voila une bonne analyse! (sourire)
 
Q- Est-ce qu'elle est juste?
R- C'est tout a fait juste. Il est évident qu'il faut faire un travail avec sur soi. Les raisons pour lesquelles on fait tout ca. On remonte dans son passé, dans son enfance pour savoir pour quelles raisons on a envie d'être artiste; envie d'être un peu plus aimé que les autres; Je ne dirai pas que c'est de la psychanalyse de comptoir mais il y a un besoin d'exister mais peut être que j'avais besoin de ce disque; de cet album pour avoir un peu plus de sérénité.
 
Q- Pourquoi?
R- Parce que cet album c'est 3 ans de réflexion. Deux ans de travail, d'enregistrement. Une grosse rétrospection, une grosse remise en question. J'ai vécu quelque chose d'extraordinaire de 89 à 95 qui était géniale!
 
Q- La bruelmania?
R- Les gens ont appelé ça comme ça.
 
Q- Ca vous déplait?
R- beaucoup, énormément. C'est très réducteur!.
 
Q- Vous l'auriez appelé comment cette période?
R- Une très belle histoire d'amour entre un public et un artiste. C'est une rencontre extraordinaire ponctuée par des rendez-vous magnifiques. Et alors, évidemment par tous les débordements que cela peut engendrer et mais j'ai trouvé que tout cela était réducteur et donnait une perception différente de ce j'étais et de ce qu'était la situation. Et c'est pour cela qu'en 95, j'ai pris le temps pour écrire des chansons et je vais écrire des chansons qui vont mettre en avant le pianiste, l'auteur, le compositeur, l'interprète et puis l'homme. Je suis parti à la recherche d'émotions, de rencontres. J'ai vu des choses; j'ai rencontré des gens et a un moment donné, j'ai eu l'impression de me rencontrer moi-même, de me retrouver. J'ai écrit des chansons qui sont toutes simples qui racontent le quotidien, qui racontent mon quotidien et mes préoccupations.
 
Q- Justement. Moi, j'avoue qu'il y a plusieurs chansons intéressantes et il y en a une qui m'a touchée plus particulièrement. C'est une chanson que vous avez écrite sur l'Argentine, sur les grands-mères de la Place de Mai. Pourquoi cette chanson-là? Ces femmes-là vous ont intrigué, vous ont touché?
R- En fait, l'histoire remonte à un peu plus tôt. C'est-à-dire: mon premier choc politique, affectif, émotionnel que j'ai reçu c'est en 73 lorsque Pinochet a pris le pouvoir au Chili et que tout ça comportait. On s'est senti , à l'époque-là, très impliqué. J'avais 14 ans et j'étais très marqué par ça et par l'injustice que cela représentait. Il y a quelques mois, Pinochet s'est fait arrêter et J'ai écrit ce soir-là un texte qui s'appelle "Les diables sont jugés". Et j'ai voulu raconter, parler de ces hommes, de ces femmes qui en Argentine pleurent encore et attendent le retour d'enfants, de maris disparus que ce soit au Chili, en Argentine. Le symbole de ces femmes à la Place de Mai m'a beaucoup touché. (...) J'ai voulu faire entendre cette chanson à Nilda Fernandez qui est un chanteur espagnol que j'adore et il a été très touché par cette chanson et il l'a chantée avec moi en duo.
 
Q- On retrouve dans cette chanson-là un peu de votre conscience politique qu'on a déjà beaucoup parlé. On en a pris conscience lorsque vous avez déjà refusé de donner des spectacles dans les villes où Le Pen était présent ou le Front national. Vous êtes encore aujourd'hui quelqu'un de très politique, de très politisé?
R- J'ai toujours été quelqu'un qui vivait avec son temps et qui était un citoyen que j'allais dire comme les autres qui vit au rythme des événements qui l'entourent. C'est vrai que je suis un artiste, un artiste médiatisé, très médiatisé. Chaque fois qu'il y a un micro devant ma bouche, je ne vais pas m'arrêter de parler parce qu'il y a un micro. C'est vrai que lorsque j'avais des choses à dire , je les ai dites. À un moment donné, j'ai senti que dans mon pays, la montée de l'extrême-droite devenait réellement dangereux, il fallait qu'il y ait une prise de position. J'ai fait partie de ces gens qui peut-être à un moment donné déstabilisé un peu cette institution raciste, xénophobe et dangereuse pour la démocratie. Mais ce n'est pas ça qui est relié à leur chute; ils sont moins là aujourd'hui. La destruction est venue de l'intérieur par leur espèce de soif de pouvoir, des uns avec les autres.
 
Q- tant mieux si vous avez aidé à les détruire!
R- ben, c'était seulement une petite goutte d'eau dans l'océan. Je suis fière de l'avoir fait même si de temps en temps, on peut dire que les artistes ont un autre rôle à jouer que celui d'engagé politique. En fait là-dessus je ne suis pas d'accord!
 
Q- Vous pensez qu'un artiste doit être engagé politiquement?
R- Je pense qu'il doit être engagé tout court!
 
Q- Merci d'avoir été engagé!

MousmÉ Miho (Québec, Canada)



 
la Fureur, 19 novembre 1999
 
Patrick était génial hier à "La Fureur".
Pour ceux qui ne le savent pas, la Fureur du Québec et de la France est incomparable. Rien n'est pareil. L'ambiance ici est cinglée et Patrick s'est bien amusé. Il a dit qu'il n'a jamais fait La fureur en France (qu'Arthur va le tuer) mais qu'après avoir fait celui-ci, il va peut-être accepter de faire celui de la France. Il a chanté "Place des Grands Hommes" et "J'Te mentirais", par la suite, il a chanté une petite partie de "Qui a le droit" lors d'une réponse à une question.
Patrick reprend l'avion ce soir vers l'Europe et on vous le renvoie. J'espère que vous saurez nous le prêter de temps en temps.

Caro (Quebec)



 
Bla bla bla, 22 novembre 1999
 
Patrick était à l'émission Bla Bla Bla (TVA) ce matin, à 9 h... C'était excellent. Il a chanté deux chansons, dont un duo improvisé avec l'invité surprise pour lui, Isabelle Boulay : ils ont chanté "Casser la voix"... Il a même réussi à oublier une partie du texte. C'était sympa. Il a reçu beaucoup de cadeaux... toujours avec grand plaisir... Il aime les cadeaux... 45 minutes de télévision à voir.

Suzane (Ste Foy, Quebec)



 
2000 mercis, 11 décembre 99 (enregistrement 22/11/1999)
 
Je suis allée à l'enregistrement de l'émission "2000 mercis" présentée par Estelle Hallyday dont Patrick était un des invités.
Il a interprété "J' te mentirais", ensuite il a discuté avec Estelle en disant qu'à partir du 4 mai il serait au Zénith à Paris et qu'il partirait en tournée après. Il a aussi parlé de rugby avec quelques joueurs du XV de France qui étaient invités. Estelle a ensuite reçu Claude Lelouch et les actrices de son prochain film et Patrick a participé à l'interview. Pierre Palmade faisait aussi partie des invités et les répliques humoristiques entre Pierre et Patrick étaient assez nombreuses. Et pour finir, Patrick a chanté "Au café des délices".
La présence de Patrick dans l'émission doit être d'une heure environ.
 
Pour info je vous donne la liste des autres invités : Pascal Obispo, Patrick Fiori, Axelle Red, Nathalie Cardone, Anne Parillaud, Alessandra Martines, Marianne Denicourt, David Hallyday, Les Nuls, Marc Jolivet.
 
L'émission sera diffusée sur France 2 le samedi 11 décembre.

Laurence (Paris, France)



 

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06/10/1999 - 30/07/2000
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