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Monaco, 08 septembre 2001. (1)
La salle des étoiles du Sporting porte décidément son nom à merveille !
Après un bon repas dégusté au son des notes feutrées de l'orchestre, les fenêtres se sont levées puis, instant magique, le plafond s'est ouvert pour laisser apparaître un magnifique ciel étoilé.
Dans ce décor superbe, tout à coup, les premières notes de "Juste avant"... Patrick Bruel s'est avancé dans la pénombre et est entré dans cette atmosphère magique pour une nouvelle fois partager un beau moment avec le public. Bien qu'il ne se soit pas trouvé face à "son" public la soirée a été réussie. Son visage radieux lorsqu'il s'est mis à chanter, un sourire complice ponctuant ses interventions (différentes de d'habitude) prouvaient son plaisir à être là ... et ... toujours le même regard ému à la fin des chansons qu'elles soient intimes ou qu'elles "bougent".
A propos de "bouger", Patrick Bruel ne s'est - une fois encore - pas ménagé, faisant des aller-retours au milieu d'un parterre de ... roses!
Le public ayant lancé sur scène une bonne partie des décorations de table! Preuve que l'ambiance n'avait rien de "coincée" (malgré ce que certain(e)s peuvent bien penser ...). Il suffisait de voir les femmes debout sur leur chaise, dansant et agitant leur serviette ou d'autres personnes - peut-être là un peu par hasard - se prendre au jeu et participer en battant la mesure ou en chantant les reprises en choeur de "Casser la voix", "Alors regarde", "Au café des délices" etc ...
Bref - même au Sporting de Monte-Carlo - un concert de Patrick Bruel est un moment privilégié, plein d'émotions.
Anouck (Suisse) (10.09.01)
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